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LOUIS ARLETTE

“Magnifique”

 

Présentation

 

« Louis Arlette est revenu début février avec un album mutant, Chrysalide, qui marque une nouvelle éclosion musicale, et un tour de force artistique. Avec ce disque, le musicien fait exploser le format chanson, libère sa parole, et renouvelle son langage. Disque somme, né d’un ras-le-bol, d’un sauve-qui-peut qui le voit, tel un chat, retomber sur ses pieds d’artiste indomptable. Entre poésie, slam, expérimentations électroniques, on plonge dans un maelstrom passionnant et complètement barré, dans lequel l’artiste transfigure ses obsessions Athéna et Hermès, Ménélas, Giovanni Bellini, les empereurs d’Assyrie, des chevaliers de la Renaissance, Don Quichotte ou Jack Kerouac. »

 

 

“Magnifique”

 

« ”Le marbre voyage dans le temps,” chante Louis Arlette dans “Magnifique”. Ce single est le parfait étendard de l’album Chrysalide. Dans ce titre bref et mélodique se télescopent les Anciens et les Modernes qui laissent là leur querelle. “Je reprends mon histoire, je veux dire mon récit, mes histoires” dans des paysages magnifiques, mais “abîmés par le sel” chante-t-il. »

 

 

Clip

 

« Réalisé par Louis Arlette en personne, le clip de “Magnifique” est comme une boucle spatio-temporelle, un voyage vers les vertes années de l’enfance, de l’éveil artistique. La vidéo réveille des souvenirs en fondu enchaîné avec des réminiscences de Venise, de Giotto, des temples antiques, dans un carnaval d’images que l’artiste présente en personne, déguisé en arlequin de la Commedia dell’arte. Un clin d’œil aussi au clip “Ashes to ashes” de David Bowie, héros revendiqué de Louis Arlette. »

 

 

Projets

 

« Louis Arlette parle de son album Chrysalide comme de son premier album, c’est dire l’importance qu’il revêt à ses yeux. Un disque pareil à une libération, et au plaisir retrouvé de créer. Chrysalide contient neuf chansons qui semblent avoir convoqué autant Ferré, Murat, Daho ou Radiohead que Boby Lapointe, François Villon, Rabelais et Cervantes. Après lui, la chanson française ne sera plus jamais totalement la même. »

 

>> Site de Louis Arlette

 

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