“L’armée des fauves”
Présentation
« CandyCash, c’est un duo électro qui cultive l’étrange. Entre trip hop orchestral mutant et chanson à textes dans une ambiance cinématographique, James Saucerfull compose des nappes, bruitages et mélodies quand Pandra raconte et vit l’histoire de sa voix de louve ou de velours. Ce troisième album est une histoire sur le coma, l’absence, le grand banditisme et la trahison. Différentes lectures en sont possibles. Créé dix ans après le second, il pose un nouveau pied entre deux mondes. »
“L’armée des fauves”
« “L’armée des fauves” est un morceau inédit qui ne figure pas sur notre nouvel album L’ombre des fauves qui est sorti le 20 novembre dernier. C’est une petite exclu qui ne figurera sûrement que dans cette version acoustique. Notre album concept porte en lui une histoire qui se déroule de chanson en chanson. Celle d’une femme membre du gang de l’armée des fauves qui à la suite d’une trahison, tombe d’une falaise et entre dans un coma vaporeux. Le titre “L’armée des fauves” dévoile au-delà de l’album les liens entre les personnages, ce qui les lie et les représente. »
Clip
« Notre nouvel album L’ombre des fauves est très « produit » et nous avions envie d’opérer autrement sur un morceau inédit. Nous avons passé beaucoup de temps à arranger, réarranger, remixer, réécrire, réenregistrer des parties… pour que l’album soit très soigné, très léché, très ‘studio’. Vous pouvez jeter un œil sur le précédent clip posté il y a un mois sur Longueur d’Ondes où on en dit plus. Le clip “L’armée des fauves” a pour but de contraster et de proposer une version piano-voix très simple, minimaliste, une autre facette de CandyCash qu’on assume tout autant et qui sera on l’espère une bonne porte d’entrée dans notre étrange univers. »
Projets
« Notre nouvel album L’ombre des fauves est sorti fin novembre. Il était accompagné d’un clip animé entièrement dessiné à la mano par James. Nous travaillons sur de nouvelles vidéos aux matières aussi étranges que notre musique et puis sur d’autres supports autour du bizarre et de ce qui nourrit la trame de l’histoire de l’album. Aussi, en parallèle, notre nouvelle poétique écrite par Pandra autour de l’album et illustrée par Aleksandra Kurkiewicz, une belle pièce d’une cinquantaine de pages qui devrait plaire aux âmes sensibles, est toujours à la recherche d’une maison d’édition… On monte aussi un set live peuplé de machines, de claviers et de vertige… À suivre. »
