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MARDI 28/04/2020… LES IDEES DU JOUR

LA CHANSON DU JOUR :

Checler a décidé de nous offrir un peu de douceur avec son titre. Un shot d’amour, plein de nostalgie, qui réchauffe les cœurs : Les potes

 

L’HUMOUR DU JOUR :

À voir ici !

 

LES CONFINÉS DE LA MUSIQUE :

Aujourd’hui : Raphaël Balzary, le chanteur de We Hate You Please Die. Il n’est pas du genre à se mettre en avant, bien au contraire, pourtant son initiative Sick Sad World, compilation de 41 reprises avec la participation de groupes français (Metro Verlaine, You Said Strange, Structures, MNNQNS…) dont la totalité des dons ira au Secours Populaire, rencontre un très fort engouement et démontre combien cet humaniste sait transformer ses idées en actes solidaires.

We Hate You Please Die est un groupe attachant, et cela tient pour beaucoup à la personnalité de ses 4 membres, 2 garçons (Raphaël au chant, Joseph à la guitare) et deux filles (Chloé à la basse et Mathilde à la batterie). Le combo rouennais distille un rock plutôt [très] énergique – il suffit d’entendre leur “We hate you please die”, véritable hymne punk, pour se rendre vraiment compte de ce qu’ils dégagent – , véhicule d’une contestation affichée, dénonçant le contrôle exercé par certaines multinationales aux ramifications tentaculaires ou bien encore les inégalités sociales. Quand on leur avait demandé au festival Rock In The Barn en septembre dernier si ça n’avait pas été trop difficile de jouer devant 7000 personnes le mois précédent à Rock En Seine, Raphaël avait répondu: « Moins difficile qu’ici avec moins de monde où on voit tous les visages, c’est plus impressionnant. »

À retrouver ici !

 

POUR LES ENFANTS :

Rendez-vous Au pays des monstres…

 

L’APOPHTEGME DU JOUR :

« Quand tu te sens en situation d’échec, souviens-toi que le grand chêne, lui aussi, a été un gland ! » Audiard

 

LE DOCU DU JOUR :

2015. À Paris et dans ses alentours, des exilé.e.s en grande détresse arrivent en nombre dans l’espoir d’une vie meilleure. Face à l’urgence, des citoyens solidaires, plus réactifs que les pouvoirs publics, organisent des campements pour les mettre à l’abri. Mais la situation se dégrade rapidement et l’aide dont ils ont besoin est grandissante : c’est ainsi que des riverains, convaincus qu’il faut agir, et vite, se réunissent en associations pour leur prodiguer une aide quotidienne. Océane, une jeune parisienne de 24 ans, fait partie de ces soutiens déterminés à ce que les exilé.e.s soient accueillis avec dignité. Elle imagine alors un système d’aide novateur en s’inspirant de son mode de vie festif.

Son idée : puiser dans l’inépuisable énergie de la fête en organisant des évènements payants dans des lieux partenaires avec des artistes bénévoles. Tous les bénéfices sont ensuite reversés à des associations qui soutiennent les exilé.e.s. Avec l’appui de son entourage composé d’artistes aux compétences multiples, le collectif des Éveillés voit le jour pour initier le changement par la révolution artistique.

À travers une succession de témoignages et d’images d’archives, le documentaire retrace la genèse de ce projet. On y retrouve des artistes (Jeff Mills, Agar Agar, Manu le Malin, Jacques, La Tendre Émeute… ), des acteurs du monde associatif (Les Éveillés, Paris d’Exil, le PEROU), des personnalités du monde de la nuit (Jacob Khrist, Adrien Delaeter..) ayant tous participé à ce projet collectif d’un nouveau genre.

Ce film revient sur les événements les plus marquants des 29 dernières « veillées », et met en lumière l’engagement quotidien des militants qui luttent pour le respect de la dignité humaine.

Le documentaire est en accès libre ici.

 

TU AS TOUJOURS LE CHOIX…

Pour contrer les campagnes de greenwashing lancées par l’industrie textile, une enseigne de prêt-à-porter éthique lance une campagne percutante.

Il y a tout juste sept ans, s’effondrait le Rana Plaza, un immeuble insalubre qui abritait des ateliers de confection textile à Dacca, la capitale du Bangladesh. Un drame qui a causé la mort de 1 127 personnes, rappelant au monde les conditions de travail déplorables des couturiers et couturière sous-payés, qui travaillent à la chaîne pour produire du prêt-à-porter en masse à destination des pays occidentaux.

Depuis, la fast-fashion n’a eu de cesse de défrayer la chronique, entre impact écologique et exploitation humaine. Face à ces attaques, nombreuses sont les marques qui ont commencé à brandir leurs étendards verts pour redorer leur blason. C’est à ce greenwashing qu’a décidé de s’attaquer WeDressFair, un site de vente en ligne qui propose des sélections de vêtements éthiques et écologiques.

L’enseigne a créé une campagne de pub engagée, dénonçant les pratiques insidieuses des grands groupes. Car non, reverser 1 % de ses bénéfices à une association de protection de l’environnement ou écrire ses messages publicitaires en vert ne suffit pas à rendre la mode éthique.
Pour mettre un terme à ces techniques de manipulation, le site propose aux internautes de relayer au maximum leurs affiches pour sensibiliser le plus grand nombre à la problématique du greenwashing.

 

LE MASQUE DU JOUR :

 

LA SIESTE DU JOUR :

 

LA CÈNE DU JOUR…

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