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VINCENT ÉCKERT

Les années vaines

Prologues

Les annees vainesDes notes acoustiques, des mots, deux voix. Le disque s’ouvre sur le morceau “Mauvaise pente” et dévoile un duo mascule-féminin intimiste. Une poésie ardente entre rock et musique traditionnelle où les paroles de cet artiste alsacien se mêlent et s’entremêlent. Cet opus est une ode à la fougue mais aussi une invitation au voyage. Une escapade musicale sur les terres bretonnes qu’il aime tant, au gré de sonorités celtiques entraînantes. Une promenade mélodieuse les pieds dans l’océan, qui s’accompagne un peu plus loin de notes brutes. L’eau s’abat violemment sur les rochers, une odeur d’iode se dégage. L’album de cet auteur-compositeur puise aussi son essence dans une chanson-rock française. Basses, riffs, rythmes se font et défont dans “Le phare” et “Ne plus rien entendre est tout ce qu’il me reste”. Des arrangements chorégraphiques dynamiques. Les notes dansent ensuite “Au fil de l’air” et s’abattent ardemment sur la guitare. Un cœur de marin et une âme de rockeur.

>> Le site de Vincent Éckert

AMÉLIE PÉRARDOT

À écouter en priorité : “Le phare”, “Ne plus rien entendre est tout ce qu’il me reste”, “Les escaliers du 18ème”.

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