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KNTC

“Melatonin”

 

Présentation

Lucas : « On est un duo rock moderne originaire de Lyon, fortement influencé par la scène anglaise : la formule guitare/batterie fera penser à Royal Blood bien sûr, un groupe qu’on affectionne particulièrement. Cela dit, c’est loin d’être la seule influence : Clément (Guitare/Chant) a grandi avec Muse et Radiohead, mais plus récemment il écoute beaucoup de musique classique, et moi (Lucas, batterie) j’écoute énormément de métal.

Le projet existe depuis 6 ans, mais a changé de formule il y a 3 ans : lorsque notre ancien bassiste a quitté le groupe, on a décidé de continuer en duo et d’enregistrer notre premier album durant le confinement au printemps 2020. Depuis, on travaille à la sortie de cet album (structuration, formations, recherche de partenaires) avec la volonté de toucher un plus large public et de nous développer. »

“Melatonin”

Clément : « Lorsque j’ai écrit les paroles, je prenais de la mélatonine (l’hormone qui régule le sommeil) pour m’aider à dormir, en plus de prendre des antidépresseurs. Prendre ce genre de médicaments pose un vrai questionnement : d’un côté, on a peur de ne plus être soi-même, mais d’un autre, si on prend ces traitements, c’est justement parce qu’on ne veut plus être qui l’on est. Certains jours, on se persuade que c’est ce qu’il nous faut, et d’autres, que de toute façon, ça ne changera rien et qu’on restera comme ça à tout jamais.

Donc bien sûr, ça rajoute de l’anxiété à l’anxiété, du malaise au malaise, et c’est ce dont parlent les paroles. J’ai pris le parti de quelqu’un qui ne veut plus être lui-même, et j’aborde le thème de cette façon, presque désespéré, comme dans les premières paroles : “Fill me up, up and down, down to the point of no return”. »

Clip

Lucas : « Nos paroles sont souvent abstraites et métaphoriques : on voulait un clip qui représente ça et soit ouvert à l’interprétation. Comme on suit le parcours d’un personnage, le choix de tourner le clip en plan séquence est arrivé assez naturellement. C’était un vrai challenge pour chorégraphier les mouvements de caméra et des personnages, mais ça nous permettait d’éviter l’étape de montage et donc de gagner du temps en post production, car le timing était très serré.

Clément : « Le clip raconte l’histoire d’un protagoniste (Clément) qui se retrouve perdu dans un lieu inconnu, comme en plein cœur d’un rêve, dans un état de conscience altéré. Il va tenter de se raccrocher au second personnage (Lucas), mais celui-ci semble toujours lui échapper. Constamment, il sera tourmenté par des silhouettes au visage flou qui chercheront à l’atteindre. Nous avons choisi ce lieu de tournage pour son aspect visuel intéressant. Il s’agit d’une ancienne usine de textile reconvertie en brocante destroy et résidence d’artiste. Le lieu en lui-même est fortement abîmé par le temps. On aimait cette ambiance post-apocalyptique et surréaliste qui représente bien l’état mental du protagoniste. »

Projets

Lucas : « Beaucoup de choses ! On jouera à Paris pour la première fois le 20 avril (Soirée Eskisse – Les Étoiles), et bien sûr la grosse actu sera la sortie de notre premier album The Great Escape le 2 juin, suivi d’une tournée. On annoncera tout ça très bientôt sur nos réseaux et on a hâte de partir défendre cet album sur lequel on travaille depuis 3 ans ! »

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