“Wild at heart”
« Baby, you’re not alone / Baby, tonight, we’re gonna give it a try ». Sous ces paroles, un message de resilience. Pourquoi cet animal est triste ? Ne trouve-t-il pas sa place ? Il l’a pourtant bien trouvée et gagnée. D’une voix suave sur des notes rock mélodiques, “Wild at heart” semble être un combat ; celui de la cause animale ? celui de la résistance ? celui d’un amour brûlant ? Peu importe, tant que le but est d’aller de l’avant, et d’y croire, encore et toujours. Les images qui accompagnent ce titre viennent d’un long métrage d’animation britannique, The Plague Dogs, réalisé par Martin Rosen, et qui fête ses 38 ans (le film, pas le réalisateur), et lui-même adaptation du roman du même nom de Richard Adams. C’est l’histoire de deux chiens qui s’évadent d’un laboratoire de recherche et essayent de survivre, notamment avec la rumeur qui court qu’ils seraient porteurs de la peste. Un titre obscur, des images sombres, un animal triste, mais peut-être un message d’espoir.
Solène Balleja
