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08/05/2020… LES IDEES POSITIVES DU JOUR

Sur la même longueur d’âme ?

LA CHANSON DU JOUR :

Hoax Paradise : “Pour adoucir cette période de confinement et en attendant de pouvoir dévoiler les titres de notre prochain EP, nous avons voulu vous offrir une grosse dose de vitamines C en reprenant le titre culte “Maniac” de Michael Sembello / Flashdance.”

À découvrir ici 

 

LES CONFINÉS DE LA MUSIQUE

Aujourd’hui deux groupes confinés pour le prix d’un !!!

STUCK IN THE SOUND

Ici.

NO ONE IS INNOCENT

Ici.

 

LA BONNE PAROLE…

Après Karin Viard, Isabelle Adjani et Vincent Lindon, voici aujourd’hui un manifeste à soutenir. Il est signé par 200 artistes et scientifiques, dont 20 Prix Nobel !

« Non à un retour à la normale »

Par Axel Leclercq

Évoquant une question de “dignité” et de “cohérence”, les signataires appellent le monde a faire preuve d'”audace” et de “courage ». La liste des signataires est aussi longue que prestigieuse. 200 artistes et scientifiques ont associé leurs noms à une tribune puissante intitulée « Non à un retour à la normale ». Objectif : tout faire pour que le monde post-Covid 19 ne ressemble pas à celui que nous avons connu et qui nous mène tout droit vers d’autres crises bien plus redoutables encore.

Ce texte a été publié ce mercredi 6 mai 2020 dans le journal Le Monde à l’initiative de Juliette Binoche et d’Aurélien Barrau. Parmi les signataires, entre autres, ces quelques noms bien connus : Isabelle Adjani, Monica Bellucci, Javier Bardem, Cate Blanchett, Guillaume Canet, Paolo Conte, Adam Driver, Jane Fonda, Eva Green, Jim Jarmusch, Angélique Kidjo, Susheela Raman, Joaquin Phoenix, Paul Watson, Naomi Klein, Robert de Niro, Madonna…

Extraits :

« La pandémie de Covid-19 est une tragédie. Cette crise, pourtant, a la vertu de nous inviter à faire face aux questions essentielles. »

« La catastrophe écologique en cours relève d’une « méta-crise » : l’extinction massive de la vie sur Terre ne fait plus de doute et tous les indicateurs annoncent une menace existentielle directe. À la différence d’une pandémie, aussi grave soit-elle, il s’agit d’un effondrement global dont les conséquences seront sans commune mesure. »

« La transformation radicale qui s’impose – à tous les niveaux – exige audace et courage. Elle n’aura pas lieu sans un engagement massif et déterminé. À quand les actes ? C’est une question de survie, autant que de dignité et de cohérence. »

Ce discours n’est pas nouveau mais la pandémie en cours nous rappelle à tous et avec brutalité à quel point l’équilibre du monde est fragile et incertain. L’occasion, pour tous ceux qui prônent un changement radical, de faire passer le message. Espérons qu’il soit entendu, et espérons que la pandémie en cours ne soit pas suivie d’un retour à la normale.

 

Non à un retour à la normale

 

LA BONNE PAROLE, SUITE

« Le temps est venu de dresser un horizon commun », « le temps est venu de redonner du sens au progrès »… Nicolas Hulot a décliné 100 principes autour de « Le temps est venu de ». Une manière d’alerter sur le fait que si nous ne tirons pas les enseignements de cette crise, si nous ne décidons pas de regarder dans la même direction : transition écologique, justice sociale et prospérité économique ne resteront que des voeux pieux. Au-delà, #LeTempsEstVenu souhaite offrir à une pensée majoritaire dans le pays, mais minoritaire au cœur des instances du pouvoir, l’instrument pour se reconnaître, se rassembler dans toutes sa force et ses nuances.

Lire ici.

Les 100 principes pour créer un élan collectif sont ici.

 

LA PHRASE DU JOUR :

« Si vous voulez être heureux, rendez quelqu’un heureux ; si vous voulez recevoir, donnez un peu de vous-même, entourez-vous de bonnes personnes et soyez l’une d’entre elles. »

 

JE SUIS UNE CÉLÉBRITÉ, SORTEZ-MOI DE LÀ !

 

 

 

L’HUMOUR DU JOUR :

LA DETTE. Une journée maussade dans un petit bourg humide au fin fond de la Grèce. Il tombe une pluie battante et les rues sont désertes.
Les temps sont durs, le pays est très endetté, tout le monde vit à crédit.
Arrive un riche touriste allemand. Il arrête sa belle grosse voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre. Il pose un billet de 500 euros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit.
Pour 500 euros, le propriétaire de l’établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira.
Dès que le touriste a disparu dans l’escalier, l’hôtelier prend le billet de 500 euros, file chez le boucher et règle la dette qu’il a envers celui-ci.
Le boucher se rend immédiatement chez l’éleveur de porcs à qui il doit 500 Euros et rembourse sa dette.
L’éleveur, à son tour, s’empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au pub régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment.
La fille, qui occupe à crédit les chambres de l’hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l’avait posé auparavant.
Le touriste Allemand redescend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet de banque et s’en va !
Personne n’a rien produit !
Personne n’a rien gagné ! Mais plus personne n’est endetté ! Et le futur semble beaucoup plus prometteur.
C’est ainsi que fonctionnent les plans de sauvetage au profit des pays de l’Europe en difficulté !
Vous voyez que ce n’est pas la peine d’avoir fait l’ENA pour comprendre.

 

LA SIESTE DU JOUR

 

 

T’AS VOULU VOIR PARIS…

…et on a vu Paris dans les années 1890 grâce à cette époustouflante restitution…
À voir ici.

 

 

 

LES PHOTOS DU JOUR

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