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DEAD HORSE ONE

The West is the best

Requiem pour un Twister

DEAD HORSE ONE

Un aller direct dans le top alternatif américain des années 1990 : c’est le programme du nouvel album des Valentinois qui font rugir les guitares sur plus de 32 minutes. À côté de cette décharge de décibels rock, ils gardent un côté pop très inspiré par les Mancuniens The Smiths (“Saudade”). Le tout donne une pop puissante et touchante. Une certaine mélancolie ressort de l’écoute malgré la saturation des guitares et le volume poussé à fond tout au long du disque (“Lost”, “Olifnt”). C’est ce qui fait finalement la force et le charme de leur troisième album, une sorte de fragilité exprimée sous une production bodybuildée. Il suffit ensuite d’ajouter une légère dose de psychédélisme àla recette et le disque devient presque hanté par moment (“My pain”). Le chanteur Olivier Debard et sa bande ne s’éloignent donc pas de ce qu’ils savent faire, mais continuent à explorer les sonorités shoegaze et à se créer un univers propre.

À écouter en priorité : “Falling” ; “Olifnt”

YANN LE NY

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