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GOODBYE GONI

“Stonebreaker”

 

Présentation

Goodbye Goni, ou autrement dit « au-revoir » « genèse », nous plonge dans nos confrontations intimes à travers un son puissant et fiévreux teinté de rock 70’s. Après s’être nourris de nombreux projets musicaux communs, ces trois amis d’enfance créent Goodbye Goni lors d’une tournée irlandaise en 2018. Le groupe est composé de Marc Chaillet à l’écriture et à la guitare, d’Enzo Derlon à la basse et au clavier et de Félix Bourgeois à la batterie. Évoluant chacun dans divers horizons musicaux, de leur rencontre et de leur amour pour le rock est né ce trio. De deux rencontres diamétralement opposées entre le jeune et très prometteur ingénieur du son Perceval Carré (Isaac Delusion, l’Impératrice) et le monument Kenneth Ploquin (Alain Bashung, -M-) naîtra l’album Cosmogony. Entre l’effervescence des studios parisiens, assisté notamment par Antonin Boisadan (Alice et moi, Dani Terreur) et les vagues de Saint-Jean-de-Luz dans le mythique studio de QuikSilver, dix titres seront réalisés et huit seront sélectionnés pour composer ce premier opus, dans lesquels on navigue entre ballades planantes, riffs acérés et transes psychédéliques. Mais c’est aussi sur scène que ce trio parisien prend tout son sens.

“Stonebreaker”

« Le morceau à proprement parlé a été écrit par Marc, le chanteur de Goodbye Goni, à Courtmacsherry, petit village côtier irlandais où il a une maison. Pour lui, ce lieu est une grande source d’inspiration. Les Irlandais ont l’habitude de donner des noms aux lieux où les forces énergétiques sont très présentes. Les “Seven Heads” citées dans le texte, c’est justement le nom donné aux sept pointes qui se jettent dans la mer celtique à deux pas du village du chanteur. D’autres morceaux de l’album à paraître ont été imaginé là-bas, emprunt du folklore et de la mystique irlandaise. Pour l’enregistrement, nous avons partagé les sessions entre Paris et Saint-Jean-de-Luz au studio Quiksilver. Le titre “Stonebreaker” a été enregistré par Perceval Carré au studio Mastoid et réalisé avec l’aide d’Antonin Boisadan (Dani Terreur, Alice et Moi). La collaboration avec ces deux personnages nous a permis un vrai travail sur le son, le choix des claviers (vintage) notamment, des micros utilisés sur la voix de Marc… On est des vrais perfectionnistes en studio, on ne s’empêche pas d’explorer des voies mais rien n’est laissé au hasard et on porte vraiment une attention particulière à toutes les étapes de la création. Après, on fait du rock. Dans ce style musical, il ne faut jamais oublier de ne pas se prendre trop au sérieux ! Enfin, c’est comme ça qu’on le conçoit ! »

Clip

« Pour le clip de “Stonebreaker”, nous avons travaillé avec un ami à nous, Cyril Dosnon, un graphiste très talentueux spécialiste en lettering. L’idée de base était d’avoir une ballade visuelle très “graphique”. Sur le clip, en plus de la direction artistique, il était pour la première fois réalisateur. Grace au soutien financier d’AM Art Films qui a pour vocation de promouvoir des artistes d’aujourd’hui à l’œuvre, nous avons pu constituer une équipe pro de tournage et nous avons cherché un lieu pour tourner ce clip. Cela s’est passé à la Maison Rouge à Bastille (Fondation Antoine de Galbert), grande galerie d’art contemporain qui fermait alors, laissant la place nécessaire vu que tout était vide. Ce qui nous a intéressé sur ce projet, c’était de créer des passerelles entre notre musique et d’autres moyens d’expressions : un projet “plastique” avec le body-painting, la peinture, la calligraphie mais également la danse contemporaine avec la rencontre d’Alexane Albert (la danseuse qui a travaillé avec nous). D’un point de vu de l’image, c’était aussi un bon défi technique de travailler avec la lumière noire. »

Projets

« L’album Cosmogony est prévu pour le 26 février. Il sera pressé en CD et vinyle, et s’accompagnera de plusieurs dates promotionnelles à travers la France. Un troisième clip est en préparation, plus contemplatif, autour du paysage irlandais de Courtmacsherry dont une grande partie des images a été tournée à l’aide d’un drone cet été. Un quatrième est également en cours d’écriture. Après avoir défendu cet album en 2020, le groupe ambitionne de réaliser un album live en 2021, accompagné d’une équipe de tournage dans un lieu qui leur est cher en Ardèche. »

>> Site de Goodbye Goni

 

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