Totalement financé par les internautes, son album de 2014 Temples, idols and broken bones fut un réel succès. 3 ans plus tard, Rufus Bellefleur, le fantôme-cajun, revient avec la même recette : un crowdfunding pour améliorer la masterisation et la distribution de son projet, ainsi que les décors et accessoires pour ses lives. Ce qui est sûr, c’est que le mort-vivant du bayou, spécialiste des mélanges de genres (hip-hop, bluegrass ou bien metal) et de saveurs (le bougre propose un livre de cuisine en contrepartie), n’a pas pour habitude de décevoir.
Si vous voulez aider le trublion, vous trouverez son Kiss Kiss Bank Bank en cliquant ici.
