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MARSATAC

Marsatac © Kamikal
Du 25 au 27 septembre à Marseille (13)

CADRE : Au sein de La Friche Belle de Mai. Dans ce vaisseau de béton brut et d’histoire collective marseillaise, Marsatac investit les murs et les encoignures, d’entresols dérobés en interstices escamotés, il habite cet espace urbain qui lui va bien.

MÉTÉO : Fidèle à l’été indien qu’on lui connaît, le soleil est radieux tout au long du week-end, les pulls laissant place aux tongs.

CARTE D’IDENTITÉ : Marsatac confirme sa position de rendez-vous clef de la rentrée culturelle avec la promesse de téléporter le public et de lui faire vivre une expérience intense tant musicale que visuelle et sensorielle. Un line-up qui claque avec pas moins de 45 groupes programmées, 3 scènes couvertes dont un Club inédit créé pour l’occasion, un Toit Terrasse accueillant des concerts, une animation sonore en extérieur avec des DJ’s issus de la scène locale. Une vision à 360° des dernières tendances musicales de la scène électro, rock et hip-hop.

LES PLUS : Placés sous le signe de la convivialité et de la rencontre, les rendez-vous
Satellites de Marsatac offrent aux festivaliers un véritable ballet intergalactique avant le début des hostilités. Tout un programme en marge du festival : expos, cinéma, concert-goûter pour les kids et sessions professionnelles avec un ensemble de rencontres et débats. Les vendredi et samedi, deux collectifs d’art visuel et numérique livrent une version totalement inédite et originale de La Friche… et l’organisation est au poil !

LES MOINS : Se rendre à la scène créée pour l’occasion s’avère être un véritable parcours du combattant, transporté dans un dédale d’escaliers et de couloirs sans fin. Épuisant !

LA DÉCOUVERTE : Monophona et son univers intimiste offre un moment riche en émotion soutenu par le sourire et la voix bienveillante de Claudine. A noter ce fabuleux hommage à Kurt Cobain sur le titre “Boy” à la dimension fantomatique des plus mystique.

LE SHOW : Kadebostany (sorte de Pink des Balkans) envoie une électro-pop galvanisante et hybride avec son orchestre. Cuivres et fanfares retentissants se mélangent au déhanché ultra sexy de la diva hip-hop que rien n’arrête. Ouf, il fait chaud !

www.marsatac.com

Texte & photos : Kamikal

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